Comment repenser le travail et sa rémunération?
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Ce débat a eu lieu le 10/01/2017 à Carmaux. Vous pouvez continuer à échanger sur le sujet.
Interventions
Jacques
jeudi 29 décembre 2016 16:39:54 +00:00
Vous ne pouvez pas reposer autrement la question...car ce n'est pas le travail qui manque, en FRANCE, en 2016...ni le désir de jouir de tout sans entrave : c'est juste que les institutions publiques voulues en 1958 sont arrivées à maturité : voulait-on museler le corps électoral...le corps électoral est muselé : a pris les commandes une véritable pègre qui spécule sur les différences de prix de la main d'oeuvre d'un continent l'autre...les famines, les capitaines de guerre...et la bêtise humaine : tout le monde sait combien prohiber génère d'économies souterraines, par exemple, mais non, les ligues de vertu n'ont jamais été aussi nombreuses, prospères, bavardes...ni les gens aussi répressifs, convenus, formalistes, ronchons...prohibitionnistes !!!
Jacques
vendredi 06 janvier 2017 17:12:51 +00:00
Plus fondamentalement encore, c'est la notion même de "travail" qui est suspecte... puisque travailler signifierait "souffrir" : bien plus prometteur serait de se mettre à parler ou penser "service", même au prix d'une révision interne radicale.
Une autre voie, encore plus radicale, serait de ne rémunérer que le plaisir...non pas celui qui est procuré, insatiablement, mais le plaisir de faire...le plaisir de fabriquer...le plaisir de solutionner une difficulté qu'on aurait investie un moment, juste pour le plaisir de la regarder se dissoudre comme un sucre.
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