Faut-il et comment améliorer les pédagogies scolaires ?

L'entreprise scolaire cessera d'être l'échec qu'elle est lorsqu'elle cessera d'être totalitaire : il faut des solutions pour notamment les jeunes mâles dits "en rupture" ; il faut faire place aux non-diplômés. La proposition de sauver le système scolaire par la traite négrière, d'un candidat que je nommerai pas, est très choquante.
Déjà, la société scolaire devrait-elle admettre qu'elle était un modèle de société carcérale bien plus qu'un modèle de société démocratique possible.

Si poser le problème de l'enseignement comme pédagogique n'était que façon de détourner l'attention du grand public, des systèmes de recrutement des enseignants et du bon mode de contrôle des dits enseignants, par exemple, la réponse était NON : on ne peut rien...puisque le grand postulat de la pédagogie, c'est de dire que c'est l'élève qui est mauvais...or le problème, ce n'est pas que l'élève fût mauvais : on naîtra tous nul : le problème, c'est que les enseignants pussent être nuls, eux-aussi !!!
Oui, j'ai été écolier en FRANCE métropolitaine ; le seul professeur sympathique qu'il m'ait été donné d'avoir nous venait de TAHITI : FRANCE métropolitaine, cherche tes erreurs !...!

Si les petits-génies du ministère de l'éducation nationale avaient pû, ils auraient depuis longtemps remplacé tous les enseignants hâbleurs-râleurs-tricheurs par des téléviseurs ; malheureusement, autant les parents semblaient-ils capables de préférer leur écran plasma à leur progéniture, autant leur progéniture était réputée-incapable de se priver de tout attachement affectif au parent de substitution qu'était un maître d'école...sauf à tourner maboule...et à la condition que le mode de recrutement du maître d'école fît un minimum place à ses qualités pédagogiques-charismatiques naturelles-profondes : à défaut, c'était des générations de maboules que la machine scolaire allait se mettre à fabriquer à la chaîne, tout juste bonnes à finir en chaire à canon...en chaire à patrons.
En somme, il n'était richesse que d'hommes : au de-là il n'y avait nulle espérance de pierre pédagogique-philosophale : chaque enfant était un cas particulier avec son histoire et son bagage génétique ; ici, l'inégalité était la règle ; ce n'était pas tant cette inégalité que l'échelle des salaires, dans une société moderne-libérale-avancée qui était insupportable-et-injustifiée !?!