Pourquoi et comment un café citoyen?
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Ce débat a eu lieu le 10/10/2017 à Carmaux. Vous pouvez continuer à échanger sur le sujet.
Interventions
Jacques
vendredi 18 août 2017 15:36:04 +00:00
Les institutions publiques françaises 2017 étant encore tout'imprégné de la restauration napoléonienne avec la re-division de la société administrative en trois ordres et l'argent pour seul vrai moteur d'action, il fallait bien que les démocrates se retrouvent ailleurs !?!
Les institutions publiques seraient-elles tout'imprégné des idées de 1789 et du désir de servir ceux qui en avaient le plus besoin, que les citoyens seraient-ils toujours obligés de fuir les palais nationaux et les jeux de rôles auxquels on ne saurait échapper...à peine de retomber dans le pouvoir personnel et le totalitarisme napoléonien...ouvertement ou moins ouvertement : les historiens ne disaient-ils pas que si Lorenzo-magnifico n'occupait aucune officialité, ce ne le gênait nullement pour s'installer où lui chantait dans FIRENZE...et puiser des deux mains dans le trésor de la ville !?!
Peut-être faudrait-il raser tous les monuments légués par les temps monarchiques...mais à condition de savoir bâtir mieux !...!
Jacques
vendredi 18 août 2017 15:43:19 +00:00
C'est probablement dans la mesure où les café-citoyens renonçaient à investir les palais nationaux qu'ils seront le mieux en mesure d'influer sur leur fonctionnement et leurs productions, un palais national devant être une sorte de fabrique d'où se devait sortir du bon saucisson de gouvernement ; tant qu'ils se cantonnaient aux problèmes de la société dans laquelle ils étaient eux-mêmes plongés, on voyait bien qu'ils n'arrivaient à rien : tout le monde n'y avait que des droits, que des frustrations : personne n'y avait aucun devoir, aucun commencement d'organisation : leur monde ne pouvait que régresser ou disjoncter !?!
Jacques
vendredi 18 août 2017 15:51:01 +00:00
Les démocrates n'étaient évidemment pas les seuls à se débattre contre leurs démons domestiques : les catholiques-romains, les mencheviks ou les rockabilies en étaient tous au même point : tous se débattaient entre des héros et des maréchaux...quand ce n'était pas les mêmes, à deux moments de leur vie. Il n'était jusque dans les familles où la guerre faisait rage...ne laissant d'autre alternative à leurs membres que d'aller chercher la paix auprès d'un animal de compagnie, un violon d'ingres, un jardin secret : seul vouloir avoir une seule vie, comme Henri TUDOR, rendait méchant !...?
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