Comment la violence est-elle devenue un bien de consommation ordinaire ?
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Ce débat a eu lieu le 27/09/2017 à Graulhet. Vous pouvez continuer à échanger sur le sujet.
Interventions
Jacques
vendredi 22 septembre 2017 16:01:20 +00:00
N'ayant pas la télévision à demeure, je suis toujours frappé par la morbidité des fictions au programme, quand je vais dormir chez quelqu'un d'autre, à chaque fois avec télévision. A chaque fois et dix fois au cours de la soirée, l'inspecteur trouve le coupable...alors que mon expérience, dans la vraie vie, c'est que personne ne veut seulement enregistrer ma plainte...moralité : c'est juste le ministre de la police qui fait sa publicité...et le monde en redemande...et en redemandera de plus en plus, puisqu'il n'a plus de potager à regarder pousser, nulle part, chez personne !?!
Jacques
mercredi 27 septembre 2017 16:38:10 +00:00
Si la violence était devenue un bien de consommation ordinnaire, il fallait que ce fût bien avant ma naissance devenu, il y a très-très longtemps : déjà dans mon enfance, il n'y avait pas de croisement ni de chevet-de-lit ni de cou sans croix, supplice romain réservé aux esclaves et aux saints-guérisseurs...sans compter les monuments aux morts à la gloire de tous conflits armés à venir.
Le "comment" ne renvoyait cependant-naturellement pas seulement à des temps reculés-obscures : il permettait aussi-et-surtout d'exonérer le temps présent de toute espèce de faute : bien plus facile ou utile serait-il de débattre du "pourquoi" !...?
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