Compte-rendu synthétique par Corinne TANAY — Café Citoyen de Le Havre (15/11/2013)
Animateur du débat : Corinne TANAY
» Démocratie et Citoyenneté
Plus de participation au Café Citoyen du Havre
Le débat du 15 novembre 2013 a permis de clarifier la situation du Café Citoyen du Havre. Une dizaine de participants ont pris part à la discussion sur la définition des attentes, des souhaits et des objectifs du Café Citoyen havrais.
Il a été décidé une approche des quartiers de la ville haute pour échanger sur les valeurs de la citoyenneté.
L'un des participants a précisé que "la parole citoyenne ne saurait être la propriété d'une poignée de privilégiés ou de personnes qui vivent relativement bien". Les quartiers de la ville haute sont riches d'expériences humaines et d'un tissu associatif qui fait ce qu'il peut pour établir un climat de dialogue et de paix sociale à travers de multiples activités.
L'équipe du Café Citoyen envisage de prendre contact avec des responsables de ces associations pour organiser un débat autour de la parole citoyenne et son utilité.
Une autre décision a été prise à l'unanimité pour une meilleure communication sur les réseaux sociaux afin de faire connaître le Café Citoyen à l'ensemble de la population havraise.
Maxime se charge de Facebook et de Twitter.
Les anciens continuent de rédiger des billets et des comptes rendus à la plume...
Quelques participants ont décidé d'aider au projet "approche des quartiers de la ville haute".
A suivre.
En attendant, rendez-vous le 05 décembre 2013 à partir de 18h30 pour une rencontre avec Philippe Derudder (que tous ceux qui s'intéressent à l'économie connaissent bien).
Chez Kamel
La Cour gourmande
40 rue du Maréchal Galliéni
Interventions
Jacques
mardi 12 novembre 2013 18:11:22 +00:00
Vous êtes tristes, abattus, isolés...alors soyez désormais drôles : on viendra à vous pour rire des autres...on reviendra pour rire avec vous.
Mieux, l'intelligence ne servait à rien si elle ne donnait pas aussi joie et jeunesse !?!
Ne posez aucun préalable : à quoi servez-vous si vous voulez la seule société des êtres déjà sans a-priori ?
Quant au jugement, vous me semblez en avoir une définition bien dommageablement répressive : aimer ou persécuter, c'était également juger !?!
L'équipe du Café Citoyen
mercredi 13 novembre 2013 11:08:07 +00:00
Jacques,
Nous ne sommes ni tristes ni abattus ni isolés.
Nous sommes plus de 35 000 personnes en France, en Europe et dans des pays qui ne pratiquent pas la liberté d'expression.
Vous vous méprenez ou vous êtes dans le jugement.
Il faut relire le billet ci-dessus pour l'interpréter avec justesse.
Juger ou jauger.
Nous savons que l'action de jauger est la plus délicate qui soit pour le genre humain.
Une chose est sûre, le Café Citoyen n'est pas dans le jugement. Nous pourrions dire qu'il incite à partager une réflexion sur divers sujets de société.
Sur la drôlerie que vous abordez et à laquelle vous nous conviez, elle mérite d'être débattue sérieusement.
Vous écrivez "(...)"Aimer ou persécuter", c'était également juger!?!".
Merci de nous éclairer.
Si vous fréquentez le Café Citoyen, il ne tient qu'à vous de nous exposer votre point de vue.
L'équipe du Café Citoyen du Havre
Jacques
jeudi 14 novembre 2013 17:01:13 +00:00
Si on parle du HAVRE, on parle du HAVRE ; on parle de vous : on ne parle pas du reste du monde !? Pis, seriez-vous deux que vous auriez pareillement le droit de s'exprimer que 35.000 ou 70.000 personnes !?! Bien mieux, être sept ou huit serait même plutôt une chance : chacun allait pourvoir se parler.
Par ailleurs, oui, exprimer de la "déception", c'était exprimer de la tristesse...deux personnes seulement, ce soir-là, au HAVRE, malgré le travail accompli en a-mont, ce pouvait se concevoir ! Contre quoi, alors, vous rebiffiez-vous ? C'était le seul mot "tristesse" qui gênait ???
Par ailleurs encore, vous me semblez avoir une définition dommageablement policière-et-répressive du verbe "juger" ; personnellement, je trouvais que pour faire plaisir comme pour soigner, fallait-il déployer des trésors d'intelligence, juger du bien comme du mal, du bon comme du mauvais : non, "aimer", ce n'était pas seulement se baffrer jusqu'à plus soif...sans vouloir offenser les hâvrais plus que les autres hommes.
Jacques
vendredi 15 novembre 2013 16:56:15 +00:00
La drôlerie, ce n'était pas seulement une question de forme, quasiment une ruse, mais aussi la preuve que l'on était soi-même fait pour le bonheur privé comme pour le bonheur public, que sa propre mélancolie n'émanait pas seulement de son propre tréfond !?!
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